Laissez-vous guider par l’expertise du Zeirishi dans la jungle des taxes japonaises
Ponctualité. Loyauté. Respect.
Ces trois mots résument parfaitement la mentalité japonaise. Si vous lisez cet article, c’est que vous avez peut-être déjà été confronté à des difficultés au Japon, que ce soit dans votre vie de tous les jours ou dans le cadre professionnel.
Développer des relations commerciales avec le Japon n’est pas une mince affaire.Vous savez probablement déjà qu’il serait bien optimiste de votre part d’espérer résoudre toutes vos problématiques fiscales en un claquement de doigts, surtout si vous ne parlez pas japonais.Il n’y a donc rien d’étonnant à ce les entrepreneurs se trouvent quelque peu désorientés au moment d’implanter leur société au Japon.
Vous avez encore tout à découvrir du Japon et ne savez pas par où commencer ou quel chemin prendre? Nous avons une solution pour vous.La plus simple que vous puissiez imaginer ! Poursuivez votre lecture pour découvrir en quoi faire appel à un conseiller fiscal dès le début de votre projet d’implantation peut vous faire gagner du temps et de l’argent.
Par où commencer ?
En entrant dans le marché japonais, vous remarquerez que les fonctions ne sont pas tout à fait les mêmes au Japon pour certains métiers qui sont en apparence similaires.
Nous vous invitons à prendre le temps de consulter le tableau ci-dessous pour comprendre quels seront vos interlocuteurs si vous décidez d’établir votre société au Japon.


Plutôt surprenant et compliqué, n’est-ce pas ?
En d’autres termes, pour établir une société, vous devrez prendre contact avec un premier avocat qui se chargera de son enregistrement, et mandater un deuxième avocat spécialisé en droit de l’immigration pour s’occuper de votre demande de visa.On vous demandera en parallèle d’informer le Bureau des impôts de l’ouverture de votre entreprise. vous aurez donc également besoin de l’assistance d’un conseiller fiscal.
La pression est déjà palpable…
Pour éviter les maux de tête
Il vous suffit de contacter un spécialiste qui vous guidera à travers tout le processus dès le début de votre projet : un conseiller fiscal, ou zeirishi (ZS) en japonais. C’est aussi simple que ça.
D’après notre expérience, beaucoup d’entrepreneurs contactent un conseiller fiscal après avoir établi leur société et voient leurs ventes augmenter. Le résultat aurait été encore meilleur s’ils avaient contacté celui-ci en amont.
Le conseiller fiscal est le tout premier professionnel que vous devriez contacter si vous envisager d’établir votre société au Japon.
Pourquoi engager un conseiller au Japon ?

Le réseau. Si vous pressentez le besoin de faire appel à un autre spécialiste (qu’il s’agisse d’un consultant agréé en couverture sociale ou d’un conseiller juridique), il suffit d’en parler à votre conseiller fiscal. Celui-ci se fera un plaisir de vous mettre en relation avec la personne appropriée. Il peut même planifier un rendez-vous pour vous et expliquer directement la situation à votre interlocuteur.
Nul besoin de perdre votre temps précieux à chercher un professionnel de confiance : votre conseiller fiscal s’assurera que votre entreprise êtes entre de bonnes mains.

Le rapport qualité-prix. Un conseiller fiscal (ZS) peut également agir en qualité d’avocat spécialisé en gestion administrative (GS). Ce genre d’avocat est habilité à soumettre des documents à un bureau de notaires et autorisé à utiliser un système de vérification par signature électronique pour établir des sociétés.
Pour créer une société sans l’aide d’un conseiller fiscal (ZS) au Japon, il faut s’acquitter d’un tTimbre fiscal de 40 000 yen. Aucun timbre fiscal n’est exigé lorsque l’opération est réalisée par un conseiller fiscal (ZS), qui peut alors vous proposer un prix plus intéressant que celui dont vous auriez bénéficié sans son appui.

Les avantages fiscaux du formulaire bleu. Une fois que vous êtes venu à bout des procédures nécessaires à l’établissement de votre société, il vous est demandé de soumettre plusieurs déclarations au Bureau des impôts. L’unen de ces déclarations, connue sous le nom de « formulaire bleu », est un document essentiel à votre stratégie de réduction des impôts. Si vous ne faites pas la demande dans les temps, vous passerez à côté d’une réduction de 650 000 yen en taxes à la fin de votre première année d’exercice.
Ne comptez pas sur un conseiller juridique (SS) ou un avocat spécialisé en gestion administrative (GS) pour vous parler de ce document :les taxes ne font pas partie de leur domaine d’expertise. Un conseiller fiscal veillera en revanche à ce que ce document soit soumis dans les temps.

L’avantage de la traduction. L’une des principales difficultés que rencontrent les entrepreneurs étrangers est la barrière de la langue. Au Japon, la plupart des institutions, banques, bureaux des impôts et services de retraite ne sont toujours pas en mesure d’offrir un service de qualité en anglais. Cela peut s’avérer pesant, surtout pour les nouveaux arrivants.
C’est dans ce type de situation que votre conseiller fiscal anglophone peut vous être d’un grand secours. Même si la traduction ne fait pas officiellement partie de ses attributions, il sera tout à fait disposé à passer des appels pour vous, voire à vous accompagner sur place lorsque vous êtes en difficulté. Un supplément vous sera parfois demandé pour ce type de prestation, mais il n’y a pas de prix lorsqu’il s’agit de gagner en sécurité et en tranquillité d’esprit.

Soutien permanent. Faire appel à un conseiller fiscal vous permet de bénéficier d’un soutien permanent à long terme. En toutes circonstances, où que vous soyez.
Vous n’êtes pas certain de comprendre les démarches pour activer la couverture sociale de votre entreprise ? Appelez votre conseiller fiscal. Vous aimeriez savoir si vous êtes éligible à une exonération en matière de retraites ? Contactez votre conseiller fiscal : il se renseignera pour vous.
Il vous guidera également volontiers à travers les coutumes du monde des affaires japonais pour garantir votre adaptation en douceur à ce nouvel environnement.
Laissez-vous séduire !
Vous l’aurez compris, un conseiller fiscal a bien plus à offrir que des conseils en matière d’impôts :il peuvt également proposer un large éventail de services d’accompagnement insoupçonnés.
Gagnez du temps et de l’argent : contactez un conseiller fiscal et partez à la conquête du marché japonais en toute sérénité.

Clara
Hello, I’m Clara, your French translator.
Newcomer at Otani Accounting Office, it has always been a pleasure for me to help others.
With me, you definitely now have a chance to consult about financial matters in French, a language that is comfortable for you.
Mostly in charge of the marketing side of the company, my role is to enhance a relationship between clients and Otani Accounting Office.
Understanding how Japanese Taxes work was a necessary element for me, therefore, I will use all of my knowledge, to make sure you also don’t miss any information about it.